Un vieux pont à Saint Thurial

À Saint-Thurial, un vieux pont de pierre enjambe une petite rivière, « la Chèze ». On peut découvrir ce pont lors d’une promenade fléchée (se renseigner à St Thurial). Il est possible qu'il s'agisse là des vestiges d'une ancienne voie romaine.

La chambre au loup

Le vallon de la chambre au loup, à Iffendic, est un endroit superbe. Un petit lac serpente au fond du vallon entre des falaises escarpées. Un rocher, qui rappelle vaguement la forme d’un loup assis et hurlant, lui donne son nom. Puisque nous sommes en Bretagne, et plus encore en Brocéliande, une légende y est attachée. On dit que lorsque Brocéliande est envahi, le rocher se transforme en un féroce guerrier.

Avec ou sans loup, le vallon est un lieu où il fait bon se promener et où la lumière est souvent très belle.

Les trois roches à Trébran

LA balade dite « du château de Comper » , décrite dans le topoguide « Brocéliande à pied », ne fait qu’une dizaine de kilomètres. C’est l’idéal pour une promenade de l’après-midi, par une chaude journée d’été.

En ce qui concerne le château lui-même, il faut bien dire que je n’ai pas pu l’approcher, et que je n’en ai d’ailleurs pas eu envie. Le nombre de touristes, de voitures cherchant à se garer à proximité était absolument phénoménal. Par ailleurs, je n’ai pas trouvé de point de vue depuis les chemins environnants.

Par contre, le ciel changeant, tantôt franchement nuageux, tantôt laissant passer quelques rayons de soleil, créait quelquefois de superbes lumières qui éclairaient le paysage.

La partie la plus pittoresque restait donc les trois roches à Trébran. On raconte que les fées, apportant ces pierres pour la construction du Mont-Saint-Michel, apprirent ici que le mont était terminé. Elles laissèrent alors tomber les pierres.

La Gacilly exposée

Qu’il y a du monde, le dimanche, à la Gacilly! C’est à peine si l’on peut s’approcher des photos exposées. J’exagère un peu, mais cette galerie en plein air attire de plus en plus de monde. C’est d’ailleurs mérité, car l’harmonie entre les photos présentées et le cadre est parfaite.

Il est étonnant de voir, ici et là, une partie du public photographier, le plus souvent avec un petit compact numérique, les images exposées. Le souvenir d’une image passe par l’image de l’image. Nous vivons dans une civilisation de la vision, et quel que soit le lieu où l’on se trouve, il est rare de ne pas voir plusieurs personnes l’appareil à la main. C’est un photographe amateur qui parle… Pour ne pas déroger à la règle, j’ai donc pris, comme tout le monde, quelques photos de l’expo en essayant de raconter celle-ci plutôt que de me limiter à la reproduction de ce qui exposé.