mercredi 31 octobre 2012
dimanche 28 octobre 2012
Un matin à la chambre au loup
Le soleil matinal réchauffe l'eau froide de l'étang. Un peu de brume s'élève dans la lumière. Le ciel est bleu, lumineux. Ce ne sont pas encore les couleurs de l'automne, mais il y a une atmosphère de matin d'hiver.
mardi 23 octobre 2012
Art(s)
Parvis sud de la gare de Rennes, l'installation de Lois Weinberger avait attiré mon regard lors de sa mise en place. Je me demandais ce qui allait en sortir. Voila :
Je reproduis ici un texte explicatif :
Depuis le début des années 1970, Lois Weinberger milite en faveur d’une végétation spontanée. Rétif aux plantations et désherbages volontaristes comme aux idéaux de pureté et d’épuration afférents, l’artiste plaide pour la mauvaise herbe, la marge et l’interstice. Les visées de Weinberger sont en fait plus politiques que botaniques, car à travers la dynamique des espèces indigènes et néophytes c’est la lutte du natif et de l’immigré qu’il évoque, et ses problématiques identitaires et migratoires. Des processus d’hybridation, de colonisation et de parasitage s’accomplissent en vue d’une indistinction progressive du « sauvage » et du « cultivé », car chez Weinberger, c’est la plante adventice, invasive et vivace qui gagne.
Des seaux en plastique sont disposés sur une surface de béton, remplis de terre provenant d'un terrain vague. Cette terre
contient des graines / le travail va donc se développer par lui même. Végétation spontanée. Avec le temps, tout ce qu'il restera des pots sera des fragments / plastique incolore sur une zone envahie par les herbes. Ceux-là aussi finiront par se dissoudre et les fleurs seules se souviendront de leur couleur initiale. Plus tard, mon travail ne sera plus guère remarqué / le créateur aura disparu.
Autre forme d'art, moins officiel celui-là, ce mur trouvé par hasard.
Je reproduis ici un texte explicatif :
Depuis le début des années 1970, Lois Weinberger milite en faveur d’une végétation spontanée. Rétif aux plantations et désherbages volontaristes comme aux idéaux de pureté et d’épuration afférents, l’artiste plaide pour la mauvaise herbe, la marge et l’interstice. Les visées de Weinberger sont en fait plus politiques que botaniques, car à travers la dynamique des espèces indigènes et néophytes c’est la lutte du natif et de l’immigré qu’il évoque, et ses problématiques identitaires et migratoires. Des processus d’hybridation, de colonisation et de parasitage s’accomplissent en vue d’une indistinction progressive du « sauvage » et du « cultivé », car chez Weinberger, c’est la plante adventice, invasive et vivace qui gagne.
Des seaux en plastique sont disposés sur une surface de béton, remplis de terre provenant d'un terrain vague. Cette terre
contient des graines / le travail va donc se développer par lui même. Végétation spontanée. Avec le temps, tout ce qu'il restera des pots sera des fragments / plastique incolore sur une zone envahie par les herbes. Ceux-là aussi finiront par se dissoudre et les fleurs seules se souviendront de leur couleur initiale. Plus tard, mon travail ne sera plus guère remarqué / le créateur aura disparu.
Autre forme d'art, moins officiel celui-là, ce mur trouvé par hasard.
samedi 6 octobre 2012
l'aérofloral
Sur la place Charles de Gaulle, l'aérofloral met un peu de vert dans la ville. Je n'ai pas vu grand-chose de Vivacité, je n'habite d'ailleurs pas Rennes Métropole, mais la ville pourrait presque être belle si l'on supprimait les voitures et remplissait les rues de verdure...
l'aérofloral |
de l'influence de la musique sur les choux |
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