La photographie argentique a cet avantage sur la photographie numérique qu’elle nous impose un autre rapport au temps. Rien n’est immédiat : on ne peut pas voir la photo sur-le-champ et l’attente efface un peu nos souvenirs.
Ainsi, je redécouvre maintenant ces images de Rennes en été. Les rues et les places sont vides, personne non plus sur les transats place de la mairie. Le temps y est peut-être pour quelque chose...
Voici donc, comme un souvenir, ce qu’il me reste d’un été pluvieux à Rennes.
(enfin, pluvieux : pas toujours)
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